Une année de croissance : 20 % de clients en plus, 30 % de chiffre d’affaires en plus et 10 % d’équipe en plus

La fin d'une année et le début d'une autre sont toujours une bonne occasion de faire le point sur les derniers mois, de voir quelles étapes ont été franchies et comment aborder les prochains défis. Profitant de ces dates, nous avons fait le point sur ce que 2022 a signifié pour l'entreprise et sur les prochaines étapes à franchir en suivant les tendances de cette nouvelle année.

Un contexte international complexe

Les 12 derniers mois ont été marqués par la guerre entre la Russie et l'Ukraine, qui a accentué la crise économique et a eu un impact majeur sur le secteur de l'énergie. Bien qu'elle n'ait pas eu d'impact direct sur le chiffre d'affaires de PaynoPain, nous avons été affectés, comme des milliers d'autres entreprises. Suite au déclenchement du conflit et aux restrictions imposées à la Russie, nous avons reçu des demandes de blocage de cartes en provenance de ce pays. De plus, en tant qu'entreprise spécialisée dans les solutions de paiement pour le secteur hôtelier, nous avons constaté une baisse du volume des transactions provenant de ces entreprises.

Une année de croissance

Depuis notre création en 2011, nous avons constamment évolué et essayé de nous adapter aux besoins de nos clients. À nos débuts, nous avons traité des paiements d'une valeur de 50 millions d'euros et cette année, nous avons dépassé le milliard, un chiffre record. D'autre part, en termes de volume de clientèle, nous avons augmenté de 20 % par rapport à l'année précédente, avec de nouveaux clients provenant principalement du secteur hôtelier, des places de marché et du commerce électronique. Il en va de même pour le chiffre d'affaires : 30 % de plus au cours des 12 derniers mois. Et bien sûr, si l'activité a augmenté, le personnel de la famille PaynoPain aussi, puisque nous avons 10 % d'employés en plus, intégrant de nouveaux profils qui nous permettront de continuer à croître et à offrir les meilleurs services de paiement à nos clients. 2022 a été une année très positive au cours de laquelle nous avons pu poursuivre notre croissance grâce au saut vers l'Europe après l'acquisition de la licence d'établissement de paiement de la Banque d'Espagne. Cela nous a permis de franchir une nouvelle étape dans le développement des services que nous offrons en tant qu'entreprise spécialisée dans les paiements, en nous permettant d'opérer dans d'autres pays européens. En outre, cette concession nous permet de ne plus être limités dans le volume de paiements que nous pouvons traiter mensuellement, ce qui nous aidera également à poursuivre notre croissance et notre expansion.

Prochaines étapes

À la fin de l'année dernière, nous avons présenté les données de l'enquête "Nouvelles habitudes en matière de modes de paiement en Espagne", révélant que 92 % des Espagnols n'ont pas d'argent liquide sur eux et que 95 % d'entre eux préfèrent les cartes lorsqu'ils paient dans les magasins. "Les paiements via un téléphone portable ou des appareils tels que les smartwatches ont également gagné une importance particulière grâce aux portefeuilles dits Apple Pay et Google Pay. Et enfin, une méthode de paiement qui gagne en importance non seulement parmi les utilisateurs, mais aussi pour les entreprises est Bizum", déclare Jordi Nebot, PDG et cofondateur de PaynoPain. La numérisation des paiements est une nécessité qui peut aider de nombreuses entreprises à poursuivre leur croissance et PaynoPain est l'allié parfait pour y parvenir. En outre, nous continuerons à travailler pour incorporer de nouvelles fonctionnalités, de nouvelles méthodes de paiement et d'autres solutions : "L'année dernière, nous avons incorporé Bizum comme nouvelle méthode de paiement - parmi les options de Paylands - et cette année, nous avons incorporé Cofidis, pour offrir le paiement en plusieurs fois et avec Qori, pour offrir le paiement avec des cryptocurrencies. Notre idée est de continuer à travailler dans le même sens qu'auparavant pour offrir les meilleures options de paiement du marché", explique J. Nebot.